a tous
Aucun corps de metier ne sera épargné par les députés UMP.
Dans la serie je veux qu'une loie porte mon nom même si ma loie deplais a tout une profession je vous presente George Ginesta
Lisez cette article de la gazette des communes vous comprendrez...
Le SNSPP s’oppose à la volonté du député (UMP) Georges Ginesta de généraliser les gardes de 8 heures et se dit favorable au maintien des gardes de 24 heures. Le syndicat déplore également « les manipulations mathématiques » dont les pompiers feraient l’objet.
Le syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels (SNSPP-Pats/CFTC) réagit avec virulence contre « la démagogie » de la proposition de loi de Georges Ginesta, déposée le 24 février à l’assemblée nationale, visant à généraliser les gardes de 8 heures.
Selon le syndicat, « la garde de 24 heures est le pilier des régimes de services. (…) Elle permet une continuité dans la qualité du service (effectifs, spécialités, technicités…) et favorise l’esprit de cohésion cher et nécessaire à notre profession ».
Le syndicat dénonce en outre les multiples « manipulations mathématiques » des élus locaux concernant le coût des pompiers. Evoquant le rapport controversé de la Mission d’évaluation et de contrôle de l’assemblée nationale, ou la récente présentation de l’enquête du cabinet Lamotte commandé par l’Assemblée des départements de France sur le financement des services départementaux d’incendie et de secours (Sdis), le SNSPP fustige « cette gymnastique politique, qui consiste à faire dire tout et n’importe quoi aux chiffres », donnant l’exemple du rapport du cabinet Lamotte :
« – comparaison entre les SDIS du Puy-de-Dôme et du Gard, de la Lozère et de la Haute-Corse (à l’échelle des pays, c’est comparer les Etats-Unis d’Amérique et l’Ethiopie …)
- annonce du coût annuel d’un SPP de garde à 155 000 euros (obtenu très certainement avec la simple division du budget total des SDIS de France par le nombre de SPP – ignorant les quelques 190 000 sapeurs-pompiers volontaires et 10 000 personnels administratifs, techniques et spécialisés …) »
Ironique, le syndicat calcule, dans le même ordre d’idée, « qu’un parlementaire coûte environ 1 090 000 euros par an et travaille effectivement 14,75% de son temps …