DE SARKOZIE
Un ancien commissaire de police entame une croisade contre les PV, les radars en masse , suppressions des points au profit d'une recuperation financière , la repression au volant ( plus e droit de fumer entre autre , les condannations pour un moindre ecart etc..... c'est pas pour la securité mais bien pour remplir les caisses en une certaine manière c'est comme si on imposait les voitures , non pour la securité par elle meme ..... :affraid:
et il a raison le commissaire car même si on conteste , soit c'est parole du policier ou c'est classé sans suite = PAYER pas d'alternative
Un ancien commissaire de police au parcours atypique et controversé, Philippe Vénère, entame cette semaine une croisade contre les contraventions et le "tout répressif" des pouvoirs publics dans la sécurité routière.
AFP/
Un ancien commissaire de police au parcours atypique et controversé, Philippe Vénère, entame cette semaine une croisade contre les contraventions et le "tout répressif" des pouvoirs publics dans la sécurité routière.
Un ancien commissaire de police au parcours atypique et controversé, Philippe Vénère, entame cette semaine une croisade contre les contraventions et le "tout répressif" des pouvoirs publics dans la sécurité routière.
Retraité de la police et en poste au tribunal de police de Paris entre 1992 et 1996, M. Vénère publie jeudi un livre aux Editions Max Milo intitulé "Manuel de résistance contre l'impôt policier" sous-titré "comment contester vos contraventions". Parallèlement, il lance un blog dédié à ce qu'il nomme, auprès de l'AFP, une "croisade qui va m'attirer des ennuis".
Dans son livre, l'ancien commissaire ayant fait sa carrière à la police judiciaire parisienne, sans nier "la nécessité de respecter le code de la route", fustige une "politique du +tout répressif+ des pouvoirs publics" et s'interroge: cette politique "ne recherche-t-elle que la sécurité du citoyen ou bien sert-elle d'autres objectifs?".
Il écrit que "contester, par les voies de la loi, reste le droit inaliénable du citoyen" et entend "pointer du doigt les aberrations du système policier et judicaire" face à une "répression aveugle et systématique de certaines infractions au code de la route".
Sans toujours argumenter, il ajoute que ce ne sont pas 20 millions de procès-verbaux (PV) qui ont été dressés par les forces de l'ordre en 2007, reprenant les chiffres officiels du ministère de l'Intérieur, mais deux fois plus car, selon lui, on ne prend pas en compte ceux de la police municipale.
Il fait valoir que c'est le "chiffre d'affaires" qui est "avant tout recherché" et affirme que des quotas de PV sont demandés aux forces de l'ordre, ce qui est nié par le ministère de l'Intérieur. Au passage, il égratigne les "pervenches" parisiennes, chargées des PV, et les fourrières dont il dénonce le rendement ainsi que le permis à point, une "inégalité", celle "de l'argent".
Enfin, il donne une série de conseils afin que l'automobiliste puisse se défendre, publiant des lettres type de contestation d'infractions facilement accessibles, par ailleurs, sur internet.
"Je ne suis pas Don Quichotte", déclare à l'AFP M. Vénère, policier atypique, et aux méthodes parfois contestées du temps où il était en fonction. "Mais trop c'est trop", ajoute celui qui a été maître de conférences à l'Université Paris VIII. "Nous sommes dans un pays de libertés, n'importe quel criminel a le droit de se défendre. Pourquoi pas le simple contrevenant face à un rouleau compresseur?".
Selon un sondage, rendu public par sa maison d'édition, près de 53% des personnes interrogées estiment que le permis à point est une "mesure de répression". Plus de 81% disent ne pas avoir contesté un PV, près de 58% ne sachant pas comment le faire. 51,3% déclarent avoir changé leurs habitudes de conduite et de stationnement après avoir payé un PV, selon ce sondage réalisé pour la sortie de l'ouvrage par LH2 les 11 et 12 septembre par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.009 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.